Edito : Toujours au rendez-vous

par | Juin 25, 2020 | Sociétés | 0 commentaires

Toujours au rendez-vous, la vidéo

Voilà deux ans que Marcel\le existe. Deux ans, qu’y sont publiés des sujets variés à des cadences certes pas toujours régulières mais qui ont le mérite de faire perdurer ce petit webzine au grand coeur. Mais surtout, vous êtes toujours au rendez-vous. Quelle surprise et quel bonheur lorsque Marcel\le reçoit des retours sur chacun de ses papiers. Quelle surprise et quel bonheur lorsque les interviewé/es répondent présent/es. C’est, à chaque fois, un sentiment de premier rendez-vous. Vous savez, celui vers lequel on se dirige avec crainte et excitation. Celui qui monopolise tous vos sens et vous rappelle combien vous êtes vivant/e. Car, avouons-le, ce n’est pas évident d’aller aborder un/e inconnu/e et de demander à lui parler. Ce n’est pas évident non plus de publier son travail et ses tripes aux yeux de tous – bien que ce soit son métier. Alors, il y a deux ans, Marcel\le vous donnait un premier rendez-vous à travers une vidéo faite de rencontres et de croisements.  Vous ne lui avez pas posé de lapin – merci ! Pour ce nouvel anniversaire, Marcel\le revient donc avec un autre film, inspiré cette fois du court métrage de Claude Lelouch sorti en 1976. Ici, pas de rendez-vous galant, mais il y a bien une traversée d’un Paris endormi, plus rêveuse, tremblante et moins pressée mais tout aussi grisante. Pas de voiture non plus mais un vélo. Faut dire que Marcel\le est un peu engagé/e. Le pitch ? Montrer que Marcel\le observe tout et tout le temps et qu’il/elle peut faire des découvertes à chaque coin de rue. Dévoiler aussi qu’il/elle peut passer à côté d’un rendez-vous, bloquer sur un autre ou encore vraiment en concrétiser un. Et assurer enfin que Marcel\le ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. Deux ans, c’est l’occasion de prendre de nouvelles directions. Le rendez-vous est pris, on espère que pour vous aussi.

* Un merci infini aux trois Marcelle qui ont accepté de se lever tôt un dimanche matin et de se dénuder sous des températures pas très élevées. Musique : version instrumentale de “Dancing in the moonlight” de Toploader.

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